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La Ronde des Crèches de Masevaux : une formule magique auréolée de succès

À Masevaux (68), quelques jours avant Noël, l'enfant Jésus et les Rois-Mages chausseront leurs baskets.

Pourquoi faire ? Pour prendre part à la Ronde des Crèches bien sûr ! Cette course joyeuse et populaire, qui vous fait faire un tour (puis deux, trois, et enfin quatre...) dans les rues illuminées de la ville.

Dans une ambiance nocturne, avec une mise en scène très Noël, parsemée de touches de lumière et d'un circuit de crèches, l'Athlé Doller réserve à tous les amateurs de course à pied le plaisir d'une épreuve enchantée et ludique.

Si vous ne l'avez encore jamais tentée, venez participer à la 9e Ronde des Crèches de Masevaux le 20 décembre prochain : tout un club vous tend les bras pour vous accueillir très chaleureusement.

La formule magique de la course à pied

La magie de Noël opère partout - même en course à pied.

C'est le constat qu'ont pu faire les athlètes de l'Athlé Doller (section de l'EHA, Entente de Haute Alsace) à Masevaux, un certain soir d'hiver 2005/2006.

"Je venais de prendre la présidence du club", nous explique Thierry Kessler, à la tête de l'Athlé Doller, qui organise l'événement. "Nous étions à la recherche d'un concept de course innovant pour attirer un maximum de monde sur une épreuve populaire. Ce soir-là, j'avais emmené mon groupe d'athlètes réaliser une séance de fractionné dans la rue piétonne de Masevaux, nimbée des illuminations de Noël."

Sous le charme du spectacle nocturne, avec les 13 crèches installées durant cette période sur le circuit enchanté des crèches de Masevaux, tous les athlètes tombent d'accord pour utiliser une formule d'événement qui associerait nuit, ville et décors de Noël.

Le concept de la Ronde des Crèches de Masevaux venait de naître.

La Ronde des Crèches de Masevaux se court de nuit, à la seule lumière des illuminations de Noël.

Une ambiance bon - et divin - enfant

Pour l'Athlé Doller, "la Ronde des Crèches correspond exactement à l'idée que nous nous faisons de notre sport, à savoir : courir pour le plaisir et passer un agréable moment, en mélangeant effort et convivialité. Nous y sommes très attachés."

Le public se range volontiers à cet avis, car tout est fait pour le séduire. Le format, tout d'abord, est attractif : "la course se déroule sur un circuit de 2,15km, à parcourir 4 fois", explique Thierry. "Très rapidement, les premiers rattrapent les derniers, pour constituer un flot ininterrompu de coureurs de tous âges, tous niveaux, souvent déguisés, pour le plus grand bonheur des participants et du public, venu en nombre sur la course."

À l'arrivée, le traditionnel ravitaillement apporte le réconfort après l'effort : "il est composé de bredelas de Noël, concoctés par les coureuses pâtissières d'Athlé Doller, de pain d'épices, de vin chaud et chocolat chaud."

De plus, ce qui s'impose, c'est qu'on ne vient pas "pour faire un temps, mais pour profiter des à-côtés de la course. Chaque coureur est considéré comme un vainqueur et les nombreux lots tirés au sort permettent non pas à la performance, mais à la chance de repartir avec une dotation conséquente."

Autant d'attraits qui font que de nombreux coureurs restent fidèles à l'épreuve : "certains ont les huit premières éditions à leur actif. Certains sportifs, en visite en Alsace pour la période de Noël, viennent grossir le peloton, attirés par la renommée grandissante de l'événement." Et ce même si, "d'une année sur l'autre, les conditions météorologiques peuvent changer radicalement : la Ronde des Crèches s'est déjà déroulée par -15°, ou avec 10cm de neige, et rien ne semble arrêter les participants d'affluer !" se réjouit le président.

Certains coureurs "ne participent qu'à une épreuve par an - et c'est la nôtre !", se félicite Thierry Kessler, président d'Athlé Doller.

L'occasion de recevoir - et de soutenir un club dynamique

Pour l'Athlé Doller, "la Ronde des Crèches est la manifestation-phare de l'année. Elle compte énormément, car elle doit nous permettre de tenir financièrement pendant un an." Fort heureusement, "la municipalité de Masevaux et l'association des commerçants ont tout de suite adhéré à notre projet et contribué, par leur aide et leurs dotations, à la pleine réussite de l'épreuve."

Thierry est fier de ce résultat : "L'épreuve cimente l'Athlé Doller. Une centaine de bénévoles sont actifs le jour de la course, que ce soit dans la salle pour gérer l'administratif, ou à l'extérieur pour sécuriser le parcours et mettre les coureurs dans des conditions de course optimales."

Le succès de l'épreuve obligera peut-être en 2015, pour la 10e édition, à adapter la formule, du fait de l'augmentation croissante du nombre de participants. "Nous avons quelques idées que nous dévoilerons en temps utiles". Thierry avoue en effet sa crainte que l'idée du club soit copiée à nouveau, car, remarque-t-il, "comme toute formule qui marche, des clones de la Ronde des Crèches sont désormais organisés les autres samedis de décembre."

Cela n'enlève rien au charme de l'événement, modèle et précurseur d'une formule originale, à la portée de tous les coureurs, qui vous propose une agréable soirée sportive dans le cadre enchanté du circuit des crèches de Masevaux.

À découvrir absolument...

Ambiance magique sur le circuit enchanté des crèches de Masevaux. © Crédit photo : OT Masevaux et la Vallée de la Doller.

Modalités pratiques

Date : samedi 20 décembre

Lieu : Masevaux

Distance : 8,5km environ

Horaire :

Tarif : 7€ adultes, gratuit pour les courses d'encadrement

Inscription :

Au plus tard le 17 décembre via le bulletin d'inscription à télécharger ci-dessous :

Jusqu'au 18/12 sur le site le-sportif.com.

Sur place, dès 15h, au tarif majoré de 10€.

publié le 27-11-2014 / EM

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L'Alsace, 03.05.2014

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L'Alsace, 21.04.2014

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L'Alsace, 17.04.2014

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L'Alsace, 16.04.2014

L'Alsace, 26.03.2014

L'Alsace, 19.03.2014

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L'Alsace, 12.03.2014

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le Journal d'Adèle _ Déc. 2013

Pour lire la totalité de l'article, cliquez sur l'image.

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Article de l'Alsace du 16.02.2014

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Article de l'Alsace du 15.02.2014

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Article sur le 1/2 fond - lien mis en ligne le 26 janvier

http://www.liberation.fr/sports/0101614225-demi-fond-des-choses

Selon the Sydney Morning Herald Tribune, la championne du monde du 800 m Caster Semenya serait hermaphrodite. Le journal australien explique que les examens ordonnés par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) ont prouvé que Semenya possédait à la fois des organes génitaux féminins et masculins. Les rapports médicaux indiquent que la jeune Sud-Africaine n'a pas d'ovaires, mais possède au contraire des testicules internes qui produisent de la testostérone et l'avantagent donc par rapport à ses concurrentes. Le cycliste belge Frank Vandenbroucke retrouvé mort Image © AFP Le cycliste belge Frank Vandenbroucke lors de la course ""Omloop Het Nieuwsblad" le 25 février 2009.  Le cycliste belge Frank Vandenbroucke est mort lundi au Sénégal à l'âge de 34 ans, a annoncé un proche du coureur sans préciser les causes du décès. "Frank a été retrouvé mort dans une chambre d'un hôtel au Sénégal où il passait des vacances. Les circonstances du décès ne sont pas connues", a indiqué cette source. Selon des médias belges, "VDB" aurait succombé à une embolie pulmonaire. Vandenbroucke était considéré par beaucoup d'observateurs comme le cycliste belge le plus doué de sa génération mais sa carrière a été gâchée par les affaire de dopage, des problèmes d'ordre privé et "un mental fragile" selon son entourage. Le Belge, vainqueur de la classique Liège-Bastogne-Liège en 1999 à 24 ans seulement puis de 54 autres courses, avait connu une ascension rapide avant d'être rattrapé par des affaires de dopage puis il avait été miné par des problèmes privés. En 2005, il avait tenté une première fois de mettre fin à ses jours après une séparation avec son épouse et sa fille. "Je suis allé chercher la bouteille (de vin) la plus chère de ma cave - un Château Petrus 1961 - et j'ai porté un toast à ma vie. J'avais demandé conseil à un médecin: avec de l'insuline, ça devait passer", avait-il écrit dans sa biographie parue il y a un an. Il tenta à nouveau plusieurs fois d'en finir, en juin 2008 notamment. VDB concédait récemment "aller mieux" sans pouvoir affirmer "en être sorti". A la recherche d'une équipe, il avait assuré ces derniers jours vouloir revenir dans le peloton, estimant être encore capable de gagner des courses. Neveu de l'ancien coureur et directeur sportif Jean-Luc Vandenbroucke, Franck était à la recherche d'une équipe pour le saison 2010. Il était apparu en bonne santé lors des derniers Championnats du monde de cyclisme sur route, en Suisse à Mendrisio, où il officiait en tant que consultant pour un média belge. La semaine dernière, il avait annoncé vouloir poursuivre sa carrière professionnelle et avait demandé à l'Italien Aldo Sassi, l'actuel entraîneur du champion du monde, l'Australien Cadel Evans, de le remettre en forme. "Frank est en bonne forme physique et se sent bien mentalement aussi", avait précisé Aldo Sassi dans le quotidien italien Gazetta dello Sport. "A 34 ans, ce ne sera pas évident de trouver une nouvelle équipe car tout le monde pensera que les vieux démons vont resurgir pour moi", avait déclaré Frank Vandenbroucke. "Je pars bientôt en vacances au Sénégal. D'ici la fin du mois d'octobre, j'espère intégrer une nouvelle formation", avait-il dit quelques jours avant son décès. Le destin du coureur belge fait inévitablement penser à celui de l'Italien Marco Pantani retrouvé mort en février 2004 dans une chambre d'hôtel de Rimini (Italie) suite à un oedème cérébral et pulmonaire, provoqué par une surdose de cocaïne.   Le 14/10/2009 à 09:23Actu diverse 2009 L'Italienne Elisa Desco, championne du monde de course en montagne, a été contrôlée positive lors d'un test antidopage en septembre dernier, a annoncé jeudi la Fédération italienne d'athlétisme sans divulguer la nature de la substance illicite. Desco a été contrôlée positive le 6 septembre, date à laquelle elle a décroché le titre mondial à Campodolcino dans le nord de l'Italie à l'issue d'une course à 1.750m d'altitude. Les Italiennes ont raflé l'ensemble des médailles, Valentina Belotti s'emparant de l'argent et Maria Grazia Roberti, du bronze. L'invitation d'Elisa Desco aux championnats du monde de semi-marathon à Birmingham, en Angleterre, a été aussitôt révoquée. Dans l'attente des résultats des analyses sur l'échantillon "B", Desco pourrait être privée de son titre. Elle est passible d'une suspension de toute compétition pouvant aller jusqu'à deux ans. AP Caster Semenya, le 28 août 2009. Hermaphrodisme, intersexualité, les mots sont lâchés. C'est le Sydney Morning Herald Tribune le premier qui a employé ces mots pour décrire une athlète hors norme. Effectivement, hors normes sont ses performances aux 800 mètres mondiaux d'août dernier et hors norme est sûrement la femme qui se cache derrière la sportive de haut niveau… ou l'homme. Le débat est lancé et prend place dans ce blanc-seing où le droit n'a pas encore légiféré (ce qui ne saurait tarder puisque l'IAAF a décidé de travailler sur une réglementation définissant mieux le genre féminin !). En attendant l'arbitrage de la fédération internationale, à l'occasion du conseil exécutif de l'IAAF concernant son cas le 20 ou le 21 novembre. Car la particularité sexuelle de cette jeune femme âgée de 18 ans intrigue. Dès lors qu'on effleure le sexe de quelque sujet que ce soit, c'est de la naissance du monde et de son mystère que l'on veut un peu s'emparer. Dans l'inconscient collectif, c'est de notre propre humanité qu'il s'agit. D'aucuns affirmeront d'ailleurs que le sexe est le centre de l'être. Et si d'intersexualité il est ici question, comment alors nous situer, expliquer notre propre avènement sur Terre ? Et que dire de l'injustice faite aux femmes quand on cherche à enfermer leur sexe à l'intérieur de critères qui correspondent à des stéréotypes sociétaux ? Cela ne peut que les conduire à les exclure dès lors qu'elles apparaissent "hors normes". Nous sommes bien là au cœur des questions ontologiques au milieu desquelles se retrouve l'athlète, bien malgré elle. Nul ne sait si derrière ses réactions désinvoltes, cette femme n'est pas anéantie. Ne cache-t-elle pas derrière ce semblant de flegme une âme meurtrie malgré une entrée retentissante sur la scène où se jouent la performance, le rêve et le dépassement de soi ? A travers ce destin tellurique, porté par les centaines de pas qui imposent admiration et respect, comment ne pas imaginer aujourd'hui que cette enfant, puis cette jeune fille, ne se soit pas jetée à corps perdu dans le sport, ce parfait exutoire à son mal-être, à sa singularité ? Le sport et toutes ses valeurs lui ont peut-être permis, en se dépassant, de contourner ses complexes, de sentir la force en elle l'envahir jusqu'à la porter aux sommets de la victoire. Peut-être est-il même allé jusqu'à la sauver en lui permettant peut-être inconsciemment de croire en sa propre humanité ? Mais en courant après elle-même, son destin l'a aujourd'hui rattrapée. Caster Semenya essuie les plâtres de sa particularité et fait l'objet de diatribes qui laisseront des traces inexpiables dans sa chair comme dans sa tête. Désormais elle n'est ni femme ni homme aux yeux de la justice jusqu'à ce que le verdict de l'IAAF tombe. Mais la polémique perdurera sûrement après la décision tout autant que la curiosité pour son cas. La souffrance ne pourra pas s'atténuer. L'étude de Caster Semenya ne répondra pas à nos questions existentielles. Il nous incombe uniquement de la respecter pour ce qu'elle est et de faire valoir ses droits, à commencer par celui de courir, pour elle-même, mais surtout pour gagner la reconnaissance de ses contemporains. C'est probablement le sport qui lui a permis de voir dans les yeux de ses semblables le reflet d'un être accompli et confiant. En courant, elle se donne les moyens de marcher droite comme un I et d'être pleinement ce qu'elle est. Le sport l'a peut-être sauvée dans son humanité, il ne faut pas que notre regard et le jugement la tuent. Et s'il appartenait finalement aux règlementations sportives de s'adapter à des cas comme celui de Caster Semenya, de s'interroger et de se renouveler sur la question de la mixité, au moins au niveau amateur ? Emmanuelle Jappert est membre fondatrice du groupe de réflexion Sport et Citoyenneté ; Annie Sugier est présidente de la Ligue du droit international des femmes

Athlétisme – Marathon

Disqualifiée à cause de son iPod

La rédaction avec agence - RMC.fr, le 16/10/2009

Une marathonienne américaine, déclarée dans un premier temps vainqueur après la disqualification de la première à l’arrivée, a finalement été elle aussi disqualifiée pour avoir utilisé son lecteur MP3 !

Jennifer Goebel est passée par tous les sentiments début octobre sur les bords du Lac Michigan (Wisconsin, Etats-Unis). Arrivée deuxième à l'issue des 42,195 km de course, cette kinésithérapeute de 27 ans a dans un premier temps été déclarée vainqueur après la disqualification de Cassie Peller, mise hors course pour avoir récupéré une bouteille en dehors des zones de ravitaillement.
Mais trahie par une photo la montrant avec un iPod sur les oreilles, Goebel a été disqualifiée à son tour, laissant finalement la victoire et la prime de 500 dollars (335 euros) à la troisième Corina Canitz, qui semble ne rien avoir à se reprocher.

Les lecteurs MP3 sont en effet interdits pendant la course, car ils sont considérés comme une aide à l'effort. Cette règle qui interdit la musique dans les oreilles pendant l'effort ne s'applique toutefois qu'aux coureurs élites